QU’EST CE QUE LA CULPABILITÉ ET POURQUOI ELLE NOUS FAIT-ELLE SOUFFRIR ? Avant tout, je souhaiterais vous rassurer sur ce point : tout le monde ressent, plus ou moins, de la culpabilité. Oui, elle même est d’ailleurs bien souvent réservée aux femmes ! La culpabilité peut être objective et constructive (par exemple, après avoir sciemment raté un rendez-vous sans prévenir par exemple…). Elle peut-être subjective (ce que j’appelle de l’auto-sabotage) ou bien le fruit de culpabilisateurs (extrêmement toxique et destructeur). La culpabilité est sentiment paralysant et douloureux qui entraîne des ressentiment que l’on retourne contre-soi, fortement délétère pour l’estime de soi. Je pourrais vous faire un roman en 3 volumes concernant la culpabilité. C’est ma meilleure ennemie avec qui je passe beaucoup de temps ! Après vous avoir partagé mon expérience en matière de culpabilité, je vous partagerai des pistes pour enfin mettre de côté la culpabilité ! QU’EST CE QUE LA CULPABILITÉ ET POURQUOI ELLE NOUS FAIT-ELLE SOUFFRIR ? Si je vous dis « quelle imbécile je suis, j’aurais fait les choses autrement ça ne serait pas arriver…. »; « je suis nulle », voire pire, avec des noms d’oiseaux que l’on s’inflige. Vous reconnaîtrez cette petite voix qui vient nous saboter régulièrement, nous faire douter de nous, et s’attaque à notre confiance en nous. Je souhaite vous parler de cette culpabilité qui me serre tel un étau et dont il est urgent que je m’en déleste … Si vous avez lu mes précédents articles dans lesquels je dévoile mon combat (article que vous pouvez retrouver en cliquant ICI ) , vous avez pu comprendre que je ne suis pas dotée d’une grande estime de moi. Ce qui a fait de moi une proie parfaite pour un pervers narcissique… LE PROCESSUS DU MANIPULATEUR DANS LA CULPABILITÉ Alors que l’on vit l’impensable, l’insurmontable, le pervers narcissique sait, de façon insidieuse et uniquement par des insinuations, induire en nous, la culpabilité. L‘objectif de cette méthode de manipulation est pourtant évidente : essayer de faire de la victime, la coupable. Lorsqu’il est enfin possible de prendre du recul, ça devient limpide ! La victime (bien que je déteste ce terme au plus au point car elle réveille en moi douloureux souvenirs) est assaillie régulièrement de phrases assassines. L’araignée tisse sa toile avec de multiples techniques de manipulation. La culpabilisation est une arme redoutable ! Le manipulateur employant également l’alternance de chaud et de froid, afin de ne pas se faire démasquer, arrive à ses fins. La victime finit par se percevoir comme étant l’unique responsable de cette situation. En usant des petites phrases assassines telles que « c’est de la faute à ton incapacité à savoir dire non », « tu ne vois pas que c’est toi qui complique les choses », « je te l’avais pourtant dit »…., le pervers narcissique emprisonne sa proie. L’objectif de ce genre de manipulation est de frapper juste et fort, là où ça fait bien mal afin que la culpabilité ligote fortement la victime. Je ne vous le cacherai pas, il n’est pas simple de dénouer de cette toile d’araignée… Toutefois, le temps, l’aide de l’entourage, de professionnels et la persévérance nous permettent de nous en libérer. COMMENT S’AFFRANCHIR DE SA CULPABILITÉ ? Dans le cas d’une culpabilité objective, reconnaître et accepter sa responsabilité est primordial. L’objectif est de réussir à aller de l’avant, de corriger ses manquements ou erreurs rapidement si cela est possible afin de passer à autre chose. Le fait d’accepter et de s’enrichir de ses erreurs, tout comme les enfants qui apprennent par ce biais. Ce sont en effet nos erreurs qui permettent d’apprendre, de nous améliorer, de prendre confiance en nous. Relativiser en prenant du recul sur toutes les pressions sociales qui nous entourent (l’éducation, la religion, les codes sociaux, les autorités, la hiérarchie….) . Il est tout bonnement impossible de répondre à toutes ces injonctions. Qui le peut vraiment d’ailleurs ? Cesser de viser la perfection en étant soi-même, accepter que l’on ne peut pas tout faire, tout bien faire. Accepter que l’on fait du mieux que l’on peut et que c’est déjà très bien. Quant à la culpabilité induite par des manipulateurs, la prise de conscience est la première étape. Une aide extérieure est souvent indispensable pour s’en sortir et réapprendre à vivre, à sortir de ce cercle vicieux. SE PARDONNER Pour aller de l’avant, accepter ses manquements, oublis, erreurs, avec bienveillance est un premier pas vers le pardon. La seconde étape est le pardon, se pardonner car nous sommes des êtres humains et que nous commettons toutes et tous des erreurs. C’est grâce à elles que nous prenons confiance en nous, en apprenant de nos erreurs !
AIMER NOTRE CORPS ET SE RÉCONCILIER , COMMENT ?
La première réflexion que je me fais souvent en lisant réseaux sociaux, c’est hallucinant le nombre de diktats que l’on se prend encore ! Bon nombre de personnes, pas toujours très bienveillantes, jugent bon de « jeter » des « commandements » sur ce que l’on a le droit ou pas, de porter. Selon nos âges, selon notre corps… Si vous me connaissez, vous savez que j’ai repris le chemin des études il y a quelques années pour le conseil en image : on ne s’interdit rien (comme dans l’équilibre alimentaire). Il y a des astuces pour mettre en valeur nos atouts et gommer ce qui nous plaît moins. PAS D’INTERDIT, d’ailleurs qui serions nous pour nous permettre de poser ce genre d’interdit ? NOUS SOMMES TOUTES BELLES (ET BEAUX) Stop !!! Personne n’est parfait. Même les personnes que l’on trouve parfaites sont souvent complexées. La beauté est totalement subjective, nos yeux sont des miroirs qui sont bien souvent de faux amis… Alors, oui, je ne m’en cache pas, j’ai des complexes, plein même, comme une grande majorité d’entre nous. Mais, ces complexes sont également pour nous mettre en alerte : ce mal-être est il le notre ou celui que l’on nous renvoie tout ce qui nous entoure, notre charmante société pas franchement bienveillante… Sommes nous à la recherche de ce que les images nous renvoie : la quête de la perfection ? C’est une quête sans fin… qui jusqu’à preuve du contraire ne nous fait pas du bien. BODY POSITIVE MERCI ! Le postulat est de plus en plus évident, sur les petits et grands écrans, on commence enfin à nous partager la vraie vie avec de vrais corps sans retouche. Les stars jouent également de plus en plus le jeu et permettent de nous percevoir enfin « normales » car elles sont, comme nous, normales (avec des nos charmantes imperfections qui font notre marque de fabrique). Les réseaux sociaux et notamment Instagram (mon compte est ICI) et ces deux célèbres #bodypositive et #onveutduvrai sont enfin le reflet de la vraie vie. Des corps différents, des corps de femmes magnifiques avec leurs imperfections et ça fait du bien ! Des femmes superbes qui ne sont plus des stéréotypes hyper culpabilisants (culte de la minceur, de la maigreur, fitness à fond ). On fait un vrai pas vers l’acceptation des différences. Alors il y a encore beaucoup de route à parcourir, d’accord, mais on est sur le chemin d’une quête totalement différente. ON VEUT DU VRAI ! Nous voilà enfin réunis tous les 3 ! Mon fils et son papa se connaissent déjà bien car pendant que j’essayais de remonter à la surface, incapable de m’occuper de mon fils, son papa a pris le relais. Voici venu l’instant tant attendu de ma première rencontre avec mon fils… Son papa me le dépose dans mes bras, j’observe ce petit être tout frêle, je suis mal à l’aise. Je lui donne un biberon avec énormément de culpabilité mais je ne peux pas allaiter du fait des traitements cardio. Je m’y étais pourtant préparée mais rien n’y fait, les hormones sont en chutes libres, les montées de lait me rappellent à l’ordre, je me sens totalement désemparée alors que je devrais être la plus heureuse, c’est ce que vous promettent les amies, les émissions et les livres ! BIEN DANS SES VÊTEMENTS J’ai évoqué le conseil en image, je ne pouvais pas faire l’impasse sur les vêtements. Le conseil qui me semble indispensable est de porter des tenues qui vous ressemblent, dans lesquelles vous avez confiance en vous. Miroir mon beau miroir… : développez la bienveillance envers vous. Imaginez que vous avez devant vous votre meilleure amie : vous en prenez soin ? Vous méritez au même titre que votre amie, de prendre soin de vous, de vous complimenter, de vous gâter même !
DÉPRESSION DU POST PARTUM, UNE RÉALITÉ AUSSI
DONNER LA VIE… EN ROSE ? La grossesse, l’accouchement, la naissance : les médias, notre entourage et même nos amis parlent de « cet heureuse événement » comme étant les plus beaux moments de la vie d’une femme. Il est tabou d’oser parler des exceptions qui dérangent : oui, la dépression du post-partum existe… Je souhaite vous partager mon vécu afin de véhiculer un message fort : nous parlons très rarement et du bout des lèvres de la dépression du post-partum, un peu comme si cela était un gros mot, une tare psychique. Pour autant, il est utile de démystifier cette dépression post-natale qui concerne plus de 7% des mamans et papas également, dans les 3 mois qui suivent l’accouchement. Si je souhaite vous en parler, c’est parce que j’aurais aimé savoir que cette dépression peut arriver. Qu’elle ne fait pas de nous de mauvaises mères, bien au contraire. J’ai réussi à surmonter cette épreuve et j’ai une relation extrêmement forte et épanouie avec mon fils qui fêtera prochainement ses 8 ans. J’aimerais aussi que mon témoignage puisse alerter les proches et les familles. Soyez vigilants avec les jeunes mamans de votre entourage qui présentent des symptômes de la dépression du post-partum. Tendre la main, mettre des mots sur ses maux afin qu’elles soient prise en charge au plus tôt afin de retrouver rapidement une sérénité dans leur vie (de femme, de maman…). Vous pouvez être une aide précieuse. MON BABY « BOUM » Je ne vais pas vous romancer ma grossesse, vous connaissez mon franc parler si vous me lisez régulièrement ! Ayant fait un infarctus 2 ans avant ma grossesse, j’étais suivie à la maternité comme le lait sur le feu. Ayant une grossesse à risque, j’ai eu une grossesse fortement médicalisée. J’ai connu les nausées, les insomnies et les mois allongés pour menace d’accouchement prématuré ! Le package complet : Stress 1- Sérénité 0 !!! 8 mois et une semaine : toc, toc, toc ! Mon fils a choisi de rencontrer son papa et sa maman un peu en avance. Let’s go : valise ok, une bonne douche et 8 heures de contractions régulières plus tard, il est l’heure de partir à la maternité ! Mon accouchement s’éternise pendant plus 20 heures ! Après des contractions de faux travail, les sage-femmes décident enfin d’accélérer le travail car mon bébé fatigue (et moi aussi… ). On me pose la fameuse péridurale, yes !!! 3 heures après, mon fils arrive enfin mais… Moi qui ai tant regardé « Baby Boom » sur TF1, j’ai idolâtré cette rencontre tant attendue avec mon fils. Je m’attendais à ce que l’on me pose mon fils sur moi, que l’on se découvre, que l’on fasse notre premier selfie. Je rêvais de CE MOMENT où son papa et moi allions découvrir notre petit ange, admirer son visage… STOP ! Rien ne s’est passé ainsi. On a directement emmené mon fils pour lui faire des examens cardiologiques (suite à mes antécédents) et bien évidement : aucun médecin ne nous prévenu préalablement. Puis très rapidement, toute l’équipe médicale s’est agitée autour de moi, a demandé du renfort, on ne nous a rien expliqué et surtout on a négligé totalement le papa en laissant assister à cette dure épreuve. J’ai fais une hémorragie, tout m’a échappé, j’ai perdu pied. Réanimation, transfusion… Il s’est passé 4 jours avant que je puisse réellement faire connaissance avec mon fils. Ce fut 4 jours interminables. QUAND LA PREMIÈRE RENCONTRE N’A PAS LIEU Nous voilà enfin réunis tous les 3 ! Mon fils et son papa se connaissent déjà bien car pendant que j’essayais de remonter à la surface, incapable de m’occuper de mon fils, son papa a pris le relais. Voici venu l’instant tant attendu de ma première rencontre avec mon fils… Son papa me le dépose dans mes bras, j’observe ce petit être tout frêle, je suis mal à l’aise. Je lui donne un biberon avec énormément de culpabilité mais je ne peux pas allaiter du fait des traitements cardio. Je m’y étais pourtant préparée mais rien n’y fait, les hormones sont en chutes libres, les montées de lait me rappellent à l’ordre, je me sens totalement désemparée alors que je devrais être la plus heureuse, c’est ce que vous promettent les amies, les émissions et les livres ! RETOUR A LA MAISON : DU RÊVE A LA RÉALITÉ 8 jours après notre séjour à la maternité, nous rentrons à la maison. Je ne quitte jamais mon bébé un instant des yeux, j’ai tout le temps peur qu’il s’arrête de respirer… Et pour autant, le prendre dans mes bras m’effraie. Son papa ne peut pas poser son congés paternité. Je me retrouve seule avec ce petit bébé qui m’est étranger. Plus les jours passent, plus je m’épuise à pleurer sans cesse avec mon bébé dans les bras, qui tout comme moi, pleure de façon incessante. S’ajoute à cela la peur panique que mon fils soit souffrant car il perd du poids et met plus d’une heure à boire un tout petit biberon et la culpabilité de ce sentiment d’impuissance. Je ne trouve pas de solution pour calmer mon fils qui hurle, je vois bien qu’il souffre. Où est donc ce miraculeux instinct maternel que l’on vous vend au début de votre grossesse ? Rien ne se passe comme je l’avais imaginé. Ce qui devait être un « heureux événement » est en réalité « une descente aux enfers ». Mon conjoint rentre du travail et je l’attend impatiemment pour qu’il prenne le relais, pour que je puisse respirer, me laver, me nourrir, dormir… Je n’en peux plus et je n’ai pas le droit car une maman doit assurer ! Mon conjoint se sent impuissant et n’entend pas ma souffrance. Mon fils pleure de plus en plus chaque jour et je ne parviens pas à le calmer… C’est une spirale infernale. ACCEPTER DE L’AIDE POUR SE RETROUVER Heureusement, je n’étais pas totalement seule : j’avais une alliée, la puéricultrice de la PMI de mon
POURQUOI A T’ON BESOIN DE CÂLINS ?
Aujourd’hui, 21 janvier, nous célébrons la 33ème journée internationale du câlin . Pourquoi les câlins sont-ils si importants ? Et surtout, quelles sont les conséquences de l’absence de câlins ? Bien évidemment, si je choisis de vous parler de ce sujet, vous avez d’ores et déjà compris que mon histoire de vie est vivement impactée par cette carence en câlins. QU’EST-CE QU’UN CÂLIN ? Je tiens à « cadrer » le terme « câlin » afin que nous parlions bien des mêmes câlins… Cet article parle bien du geste simple et au combien précieux de prendre une personne dans ses bras. Il n’y a aucune arrière pensée derrière ce geste si ce n’est l’envie d’apporter de l’affection, de la tendresse, du réconfort à la personne que l’on prend dans ses bras. POURQUOI A T’ON BESOIN DE CÂLINS ? Le câlin est, dès la naissance, indispensable à tout être humain. Je ne l’ai pas inventé, nous l’entendons et le lisons dans tout bon magazine ou livre sur le développement du nourrisson et de l’enfant. Je vais vous parler un tout petit peu de moi. Mon enfance a été, comment dire… ? Bon, je vais plutôt dire que je n’ai pas eu d’enfance à proprement parler et j’ai vécu entre famille d’accueil et foyer de l’adolescence à ma majorité. Je n’ai donc pas reçu d’affection parentale ni extérieure. Enfant, je ne me suis pas rendue compte des conséquences de cette carence. En revanche, les conséquences ont été flagrantes dès ma vie d’adulte… et encore plus dans ma vie de maman. Je peux vous parler, avec suffisamment de recul, de l’importance des câlins parce, aujourd’hui encore, je ressens ce manque qui se manifeste sous différentes formes : insécurité, manque de confiance en soi, excès de pudeur … Que ce soit dès le plus jeune âge ou adulte, nous avons besoin de contacts physiques, de gestes bienveillants et d’interactions. Parfois incompris, je vais y venir, le besoin de câlin est normal au même titre que les autres besoins (manger, boire, dormir…) : c’est donc un besoin à prendre en compte et (autant que possible) à satisfaire pour maintenir un bon équilibre physique et physiologique. LE BESOIN DE CÂLINS N’EST PAS UNE MALADIE (AU CAS OÙ CERTAINS EN DOUTERAIENT !) Pourquoi j’en arrive à ce paragraphe ??? Parce que oui, il arrive que certaines personnes considèrent qu’un besoin de câlins (et je répète bien « câlins » = prendre l’autre dans les bras…) puisse être considéré comme étant une maladie ou un besoin anormal. Et bien NON, ce n’est pas une maladie ! Tout être humain, tel qu’il soit, a besoin de gestes tendres, d’affection. Et comme je l’ai dit plus haut, ce besoin est à satisfaire au même titre que les autres besoins (boire, manger, dormir…) ce n’est pas moi qui l’ait dit, c’est Monsieur Maslow et sa célèbre pyramide des besoins. Il y a bientôt 80 ans, nos besoins ont été hiérarchisés et le besoin de contacts est situé dans les 3 premiers niveaux de la pyramide. Mais ce besoin est souvent ignoré à l’âge adulte. Pourtant, il reste le même et a toujours autant besoin d’être satisfait. Ignoré ou pire encore, ignoré de la personne avec laquelle nous partageons notre vie. Le manque de câlins déclenche de l’anxiété, de la tristesse, une baisse de l’estime de soi … Ces maux en déclenchant d’autres et ainsi de suite ! RETROUVER DE L’AFFECTION ET DES CÂLINS J’ai une idée : s’auto-câliner ? Ce serait absolument magique si nous pouvions nous auto-suffire et remplir ce besoin de manière autonome, n’est-ce pas ? Je plaisante, bien entendu ! Ce serait d’une tristesse… Où trouver des câlins ? J’ai bien envie de vous parler des fameux « free hugs » qui arrivent peu à peu en France mais je ne suis pas adepte ! On peut trouver des vrais câlins auprès de nos amis proches, nos enfants, (de notre famille), auprès de notre moitié, quand la relation est épanouie. PS : Un câlin ne consiste pas à mettre une petite tape sur l’épaule de l’autre ! J’entends par câlin une réelle attention, du respect et de l’écoute. Un câlin fait du bien si il est fait avec l’attention d’apporter du réconfort à celui qui le reçoit. De surcroît le câlin est communicatif ! Alors, êtes vous #team #câlins « un peu », « beaucoup »… « pas du tout » ?
Instagram décrypté : comment tirer le meilleur parti de cette plateforme influente et créative
Bienvenue dans l’univers d’Instagram, la plateforme sociale qui a révolutionné la façon dont nous partageons notre vie en images. Que vous soyez un amateur de photographie, un passionné de mode ou simplement curieux de découvrir de nouvelles tendances, Instagram offre une multitude de possibilités pour satisfaire votre soif de créativité et d’inspiration. En effet, Instagram est bien plus qu’une simple application de partage de photos. C’est un véritable réseau social où des millions d’utilisateurs du monde entier se connectent chaque jour pour découvrir et partager du contenu visuel unique. Des influenceurs célèbres aux artistes émergents, en passant par les marques renommées, Instagram offre une vitrine sans précédent pour mettre en avant son talent et sa créativité. L’une des principales forces d’Instagram réside dans sa capacité à rassembler des communautés passionnées autour d’intérêts communs. Les utilisateurs peuvent y trouver une multitude d’inspirations : des looks tendance, des tutoriels de maquillage, des astuces en matière de conseil en image, mais aussi des voyages exotiques ou encore des recettes culinaires alléchantes. Quel que soit votre centre d’intérêt, il y a fort à parier que vous trouverez votre bonheur sur Instagram. Ce qui différencie Instagram des autres plateformes telles que Facebook, TikTok ou Youtube, c’est son approche axée sur le visuel. Avec une interface intuitive et conviviale, Instagram permet aux utilisateurs de partager leurs moments de vie à travers des photos et des vidéos captivantes. De plus, la fonctionnalité des stories éphémères offre un moyen unique de partager des moments instantanés et authentiques avec sa communauté. En résumé, Instagram est bien plus qu’une simple application de partage de photos. C’est un espace créatif où les utilisateurs peuvent s’exprimer, trouver l’inspiration et se connecter avec d’autres passionnés du monde entier. Dans cet article, nous vous guiderons à travers les principaux atouts d’Instagram et vous montrerons pourquoi cette plateforme reste incontournable dans l’univers des réseaux sociaux. A QUOI SERT INSTAGRAM ? Née le 6 octobre 2010, Instagram est devenu, il y a peu, l’application n°1 de partage de photos et vidéos courtes, avec plus 800 millions d’utilisateurs ! Facile d’utilisation, il suffit de télécharger l’application gratuite sur IOS et Androïd. Vous remplissez ensuite votre profil. Vous choisissez votre nom d’utilisateur, vos nom, prénom et depuis peu, il existe la double sécurisation avec votre numéro de portable. Pour avoir fait les frais d’un piratage, où j’ai perdu tous mes abonnés et toutes mes photos début novembre 2018. Je vous recommande cette double sécurisation du compte. Vous pouvez ensuite publier des photos et choisir dans les paramètres, que votre compte soit public (tout le monde a accès à vos publications) ou privé (seules les personnes abonnées à votre compte pourront voir vos publication). De même, vous pouvez vous abonner aux comptes de vos amis. Car si vous avez un compte Facebook, vous pouvez également ouvrir votre compte Instagram avec vos coordonnées Facebook, et Instagram vous suggérera les comptes de vos amis. Vous pouvez vous abonner à vos chanteurs préférés, acteurs… aux blogueurs que vous suivez sur Youtube, sur leurs blogs (appelez également influencer désormais). En effet, Instagram est un réseau social incontournable pour les blogueurs et les marques emploient majoritairement ce réseau pour faire la promotion de leurs produits. POURQUOI INSTAGRAM EST PLUS PLÉBISCITÉ QUE FACEBOOK ? Offrant de plus en plus d’options, que ce soit pour les photos avec ses nombreux filtres et désormais pour les vidéos : Instagram a largement devancé tous les autres réseaux sociaux ! Vous avez également la possibilité de tchater grâce à la messagerie instantanée (comme messenger, vous pouvez également créer des groupes). Instagram vous permet également, comme Snapchat, d’envoyer des photos directement (via cette messagerie) qui ne sont visibles par le destinataire qu’une seule fois. Depuis 2 ans, Instagram a lancé une fonctionnalité qui a révolutionné l’application : les Stories ! A QUOI SERVENT LES STORIES ? Concrètement (et comme son acolyte, Snapchat), Instagram permet grâce à cette fonctionnalité de partager des photos, des vidéos pendant 24H , que l’on peut agrémenter de stickers, d’émojis, d’# , de textes et même de musique ! C’est un outil très performant notamment pour les influenceurs et les marques car ces vidéos courtes ont beaucoup d’impacts et touchent de nombreux abonnés. C’est également un excellent moyen d’intéragir avec les abonnés et les communautés ! Les stories permettent d’entretenir des interactions indispensables pour faire croitre sa visibilité sur Instagram. A QUOI SERVENT LES CAROUSSELS ? Les carrousels sur Instagram sont un outil puissant pour raconter des histoires et partager du contenu de manière interactive. Ils permettent aux utilisateurs de combiner jusqu’à 10 photos ou vidéos dans un seul message, offrant ainsi une expérience immersive et engageante. Grâce aux carrousels, les utilisateurs peuvent présenter des tutoriels étape par étape, partager des collections de produits, raconter des histoires captivantes ou simplement donner un aperçu complet d’un événement ou d’une expérience. Les carrousels offrent également la possibilité d’ajouter des légendes détaillées et des appels à l’action, ce qui en fait un excellent moyen de communiquer des informations complètes et pertinentes. Que vous soyez un créateur de contenu, une marque ou un utilisateur lambda, les carrousels sur Instagram offrent une opportunité unique d’exprimer votre créativité et de captiver votre audience. Que ce soit pour partager une série de photos de voyage, présenter une collection de vêtements ou même créer un mini-diaporama d’événements spéciaux, les possibilités sont infinies. En somme, les carrousels sur Instagram sont un moyen efficace de partager du contenu plus riche et plus interactif. Ils permettent aux utilisateurs d’explorer davantage d’informations et d’histoires dans un seul message, créant ainsi une expérience visuelle immersive et engageante. Que vous soyez à la recherche d’inspiration, d’informations détaillées ou simplement d’une manière originale de partager votre vision du monde, les carrousels sur Instagram sont là pour répondre à vos besoins. Pourquoi les hashtags sont ils indispensables ? Les hashtags sur Instagram sont des mots-clés précédés du symbole dièse (#) qui permettent de catégoriser et de regrouper les publications selon des thématiques spécifiques. Ils sont indispensables sur cette plateforme car ils
QUEL MAILLOT DE BAIN EST FAIT POUR VOUS ?
QUEL MAILLOT DE BAIN CHOISIR SELON SA MORPHOLOGIE ? L’été et ses bains de soleil est bien là ! Je me suis dis que cet article sur les morphologies féminines et les maillots de bain pourrait vous apporter quelques astuces simples et pratiques pour choisir votre maillot de bain idéal de cet été . Avant de rentrer dans les détails, on parle souvent de la fameuse silhouette en X (ou 8) comme étant la perfection. Et bien toutes les silhouettes ont leurs atouts, c’est pourquoi j’aborderai toutes les morphologies ! Nous serons toutes « ultra glamour » en maillot ! Pour la suite… : munissez-vous éventuellement d’un mètre de couturière si vous avez des doutes… En effet, la morphologie d’une silhouette est assez pragmatique, vous verrez. LES TENDANCES DE CET ÉTÉ Des tons vifs, des imprimés fleuris et des motifs exotiques, il y en a pour satisfaire tous les goûts encore cet été. Le maillot une pièce de coloris noir ou bleu marine avec un décolleté profond reste une pièce indémodable et chic. Le bikini est toujours la star des bords de plage mais on retrouve de nombreux maillots une pièce cette saison, parfait pour gommer quelques rondeurs que l’on souhaite flouter. LA SILHOUETTE EN A Vos épaules sont plus fines que vos hanches, votre taille est marquée, vous avez une poitrine plutôt menue ? Vous êtes une morphologie en A. Quels maillots de bains à privilégier ? A vous les décolletés ouverts en V , vous mettez l’accent sur le haut de votre corps en privilégiant des hauts push-up, des volants, des froufrous ! Le bas du maillot sera échancré pour allonger la jambe visuellement, c’est très efficace. LA MORPHOLOGIE EN V (OU TRIANGLE INVERSÉ) Vos hanches sont plus étroites que vos épaules, vous avez des épaules assez développées et une taille peu marquée ? Vous êtes une silhouette en V. Quels maillots de bains à privilégier ? On met l’accent sur le bas du corps et on met en valeur vos jolies jambes ! A vous les culottes hautes, les shorty… qui vont attirer l’œil vers vos gambettes ! Pour le haut, choisissez des triangles à fines bretelles, des hauts foulard qui se nouent dans le cou, l’objectif est d’affiner le haut en portant des pièces peu imposantes. LA MORPHOLOGIE EN 8 (OU X) Vous avez les hanches et les épaules de la même largeur ? Une taille fine et marquée ? Vous avez une morphologie en 8 (ou X si vous êtes menue) : vous pouvez tout vous permettre à condition de ne pas déséquilibrer votre silhouette harmonieuse. Quels maillots de bains à privilégier ? Maillots de bains une pièce avec un joli décolleté, bikinis, amusez-vous avec les tendances de la saison ! LA SILHOUETTE EN O Vous avez des courbes rondes féminines, une poitrine pulpeuse et une taille assez peu marquée ? Vous avez une morphologie en O. Quels maillots de bains à privilégier ? Votre atout que tout le monde vous envie : votre magnifique décolleté ! Votre maillot de bain devra sublimer votre poitrine. Choisissez des hauts bien emboîtant afin de maintenir et de mettre en lumière votre jolie poitrine. Vous pouvez également opter pour les maillots une pièce (toujours avec un bon maintien de la poitrine). Le maillot une pièce est très glamour et permet de flouter notre petit ventre et autre complexe. Il apporte, si l’on choisit une matière galbante, un excellent maintien et s’avère être très agréable à porter. Si vous choisissez un 2 pièces, le bas de votre maillot devra être enveloppant. Vous pouvez vous tourner vers les culottes hautes qui donnent une note glamour ainsi que les shorty, la mode est au « vintage ». Vous pouvez jouer avec les motifs pois notamment pour un côté « pin-up » ! LA MORPHOLOGIE EN H Vous avez la taille peu marquée, les épaules et les hanches de même largeur ? Vous avez une silhouette en H. Quels maillots de bains à privilégier ? Adoptez les hauts push-up, les volants et les imprimés (ça tombe bien, vous aurez le choix cet été) Pour les bas, tout comme en haut, privilégiez des culottes avec petits volants sur les cotés, des petits noeuds et des imprimés à motifs afin de créer une harmonie globale entre le haut et le bas de votre maillot. Ajoutons à notre maillot idéal, le ou les accessoires qui sophistiquent notre tenue de plage : chapeau, paréo, robe de plage, tongs, bijoux de peau… Et nous voilà toutes canons en maillot ! J’espère que ces conseils vous auront apporté quelques idées pour choisir votre maillot de bain pour cette saison, n’hésitez pas à poster vos questions sous cet article, c’est toujours un plaisir de vous lire et de vous écrire. Stéphanie
5 astuces pour comprendre ta morphologie et sublimer ta silhouette pulpeuse
Connaître sa silhouette et ses atouts Qui pourrait prétendre que les formes généreuses ne peuvent pas être synonyme d’élégance et de style ? Absolument rien n’est plus éloigné de la réalité ! C’est pourquoi j’ai décidé de partager mes astuces préférées pour sublimer ta silhouette voluptueuse en utilisant le pouvoir des vêtements adaptés. Car chaque femme, peu importe sa silhouette, a la possibilité d’embrasser sa beauté, de se sentir belle et confiante dans sa peau. N’oublie surtout pas : l’objectif n’est pas uniquement d’afficher un look tendance et chic, mais également de cultiver une sensation profonde de bien-être avec soi-même. C’est cette harmonie entre ton style extérieur et ton estime intérieure qui te rendra véritablement resplendissante. La première étape pour comprendre ta morphologie est de te regarder dans le miroir et d’observer les proportions de ton corps. Voici les différentes silhouettes courantes : 1. Silhouette en 8 : Si tes épaules et tes hanches sont alignées avec une taille bien définie, tu as une silhouette en forme de sablier. Tu peux mettre en valeur ta taille en portant des ceintures ou des vêtements cintrés. A contrario, ne te perds pas dans des vêtements XXL qui ne mettraient pas en valeur l’harmonie de ta morphologie. 2. Silhouette en A : Si tes épaules sont plus étroites que tes hanches, tu as une silhouette en forme de poire. Pour mettre en valeur le haut de ton corps, opte pour des hauts avec des détails au niveau des épaules ou du buste. Évite les jupes ou les pantalons trop moulants au niveau des hanches. 3. Silhouette en O : Si tu as tendance à prendre du poids autour du ventre, tu as une silhouette en forme de pomme. Pour attirer l’attention sur d’autres parties de ton corps, choisis des vêtements qui mettent en valeur tes jambes ou ton décolleté. 4. Silhouette en H: Si tes épaules, ta taille et tes hanches sont alignées sans réelle distinction, tu as une silhouette en forme de rectangle. Pour créer l’illusion d’une taille plus marquée, porte des vêtements qui cintreront ta taille comme des robes ou des hauts avec une ceinture. Maintenant que tu as identifié ta morphologie, voici quelques astuces pour mettre en valeur les parties de ton corps que tu souhaites et dissimuler celles que tu préfères : 1. Comment se mettre en valeur : Si tu aimes tes jambes, opte pour des jupes ou des robes qui les mettent en évidence. Si tu aimes ton décolleté, choisis des hauts avec des encolures dégagées ou en V. 2. Comment flouter : Si tu préfères dissimuler ton ventre, privilégie les hauts amples ou les robes fluides qui ne marquent pas cette zone. Si tu veux camoufler tes bras, opte pour des manches plus longues ou des vestes légères qui apporteront de la fluidité aux zones que tu souhaites dissimuler. N’oublie pas que ces astuces sont simplement là pour te guider, mais le plus important est de porter ce dans quoi tu te sens bien et confiante. La mode est un moyen d’exprimer ta personnalité et de te sentir belle, peu importe ta morphologie !
COMMENT BOOSTER SA TENUE GRÂCE AUX ACCESSOIRES
CE SONT LES DÉTAILS QUI FONT LA DIFFÉRENCE LES ACCESSOIRES PAS SI ACCESSOIRES ! On pourrait penser qu’un accessoire est un détail anecdotique. Et pourtant, en observant les copines, les pages de mode des magazines, on retient forcément le « petit truc en plus » qui fait la différence ! L’accessoire (les accessoires) englobe entre autres les bijoux, lunettes, sac, chaussures, foulard, lunettes… Bien choisis, ils font notre signature, ce détail qui fait la différence ! LES PIÈGES A ÉVITER Point trop n’en faut : trop d’accessoires tuent l’accessoire. Il n’est pas question de ressembler à un arbre de Noël. La règle est idéalement de ne pas associer plus de 7 accessoires (bijoux, sac, lunettes, ceinture… y compris ) ! De même, «oublier» de porter d’accessoiriser ses looks revient à se priver d’un joker simple et efficace ! Imaginons que l’on porte un pantalon cigarette noir coordonné à un chemisier blanc, et … rien d’autre ! Notre tenue sera classique et passe-partout, fade. Ajoutons-y un joli collier plastron et déboutonnant les 2 ou 3 premiers boutons de son chemisier. Une jolie monture de lunettes (si vous portez des lunettes de correction) pour jouer sur le côté working-girl. On peut, également, selon notre style vestimentaire (et le dress-code de notre entreprise évidemment), casser le style stricte de la tenue, porter une paire de baskets de ville (cf exemples ci dessous); et voilà ! Le tour est joué ! Dépareiller vos accessoires, si vous souhaitez apporter votre signature à la tenue ! Le gros faux-pas serait de porter, par exemple, un sac, ceinture, chaussure, bonnet et bracelet en total motif léopard ! On joue au contraire sur le mélange de motifs, de couleurs complémentaires, de matières. L’HARMONIE SELON NOTRE MORPHOLOGIE Tout comme nos vêtements que nous choisissons avec soin afin de flatter notre morphologie et flouter nos imperfections, les accessoires sont choisis selon notre morphologie. Si nous sommes voluptueuses avec de jolies courbes féminines, nous pouvons opter pour des accessoires over-size, totalement dans la tendance actuelle, par ailleurs. Tel qu’un grand cabas coloré, un sautoir long et imposant, des larges créoles et des low-boots avec un talon carré. A l’inverse, si nous sommes menues et fluettes, optons pour des accessoires plus fins afin de ne pas déséquilibrer notre silhouette. Un joli carré de soie noué autour du cou par exemple, des solaires adaptées à notre forme de visage et dans notre colorimétrie (que l’on peut également porter dans les cheveux, nonchalamment ). Un petit sac besace porté à l’épaule et une association de différents bracelets fins cumulés autour du poignet, très tendance cette saison. Accumulation, touche d’excentricité, superposition d’imprimés et/ou de matières, les accessoires nous offrent un large choix qui permet de booster notre personnalité et notre style en 2 ou 3 touches ! La saison qui s’annonce mise à fond sur les accessoires : en noir et blanc, les fleurs, le denim et les carreaux ! De quoi s’amuser puisque la mode est avant tout un jeu ! Stéphanie
POURQUOI EST-CE SI COMPLIQUÉ DE DIRE « NON » ?
AU DELÀ DU NON… LA PEUR DE DÉPLAIRE A force de se contorsionner pour rentrer dans les cases et surtout ne pas décevoir notre entourage, notre hiérarchie… Patatras : le RAS LE BOL tire la sonnette d’alarme ! Il se présente sous différentes formes : burn-out, maladies psychosomatiques, « pétage de plomb ». A force de se taire, on déborde et on explose ! La personne GENTILLE (que l’on prend pour une serpillière ou un tapis d’entrée) se réveille enfin ! Fini le OUI, elle ne supporte plus le sentiment d’être pris uniquement pour une personne trop gentille à qui on peut tout demander puisqu’elle dit toujours oui ! POURQUOI SAVOIR DIRE NON EST ESSENTIEL ? L’assertivité ou l’affirmation de soi est capitale pour conserver la main sur son existence. Nos opinions, nos besoins et nos limites n’ont-elles pas autant d’importance que celles d’autrui ? Il ne s’agit d’aller à l’encontre des besoins de son entourage, des amis, de sa hiérarchie… Mais de tenir compte de ses propres limites ! Nos valeurs et nos besoins ont autant d’importance que celles des autres. Certes, ménager les besoins des autres et les siens, ce n’est pas toujours compatible. D’où l’importance de se préparer à s’affirmer sans pour autant blesser l’autre. En parlant de ses propres limites, de ses ressentis et de ses besoins, parler de soi évite un ton accusateur qui ferait virer la conversation au conflit. Si l’on reste « paralysé » car il s’agit bien de paralysie dans certains cas, on subit, on s’écrase et la CULPABILITÉ entre en scène ! La culpabilité de ne pas avoir osé s’exprimer, culpabilité de subir parfois des actes graves qui seront bien difficiles à digérer ensuite… Voilà pourquoi il est primordial de se fier à son intuition, si la demande que l’on nous fait nous semble déséquilibrée ou à l’encontre de nos valeurs. Prenons le temps de répondre dans un premier temps. Cela permet de ne pas répondre sous la pression. Et ensuite, se fier à son ressenti pour s’affirmer. SAVOIR DIRE NON C’EST OSER SE RESPECTER Pour aller plus loin, je dirais même que dire non, c’est savoir se dire OUI. Dire oui à tout prix, pour être aimé (mais pas pour les bonnes raisons), par peur du jugement, pour faire plaisir, pour ne pas décevoir, pour fuir un conflit, par peur… Il y a tellement d’exemples au quotidien où nous nous retrouvons confrontés à cette décision : faire pour les mauvaises raisons ou oser dire NON pour se respecter tout simplement ? Une chose est sûre, à force d’entraînement, on parvient à oser être soi-même, à se respecter. Notre entourage apprend à nous connaître sous un autre angle. C’est assez étonnant même de constater qu’ils modifient et adoucissent leur comportement à notre égard. Une relation beaucoup plus équilibrée se met en place et l’on se sent à sa place. Tout le monde est gagnant au final ! Oser dire NON demande, sans aucun doute, dans un premier temps de se confronter à nos peurs . Toutefois, cette audace renforce notre estime et notre confiance en nous ! Osons ! Soyons nous-même ! Stéphanie
Relation toxique : comment se reconstruire et trouver le bonheur après la rupture ?
Se libérer d’une relation toxique : Comment préserver son bien-être et retrouver sa liberté ? Êtes-vous piégé(e) dans une relation toxique qui vous épuise émotionnellement et vous empêche de vous épanouir ? Vous n’êtes pas seul(e). Les relations toxiques peuvent prendre différentes formes, qu’il s’agisse d’une amitié néfaste, d’une relation amoureuse abusive ou même d’une dynamique familiale toxique. Mais rassurez-vous, il est possible de se libérer de ces liens destructeurs et de retrouver votre liberté. Dans cet article, nous allons explorer les signes révélateurs d’une relation toxique et vous donner des conseils pratiques pour vous en libérer. Nous aborderons également des stratégies efficaces pour préserver votre bien-être émotionnel et éviter les relations toxiques à l’avenir. Posez-vous les questions suivantes : êtes-vous constamment critiqué(e) ou dévalorisé(e) par votre partenaire ? Ressentez-vous une pression constante pour répondre à ses attentes irréalistes ? Est-ce que vous avez l’impression de marcher sur des œufs en présence de cette personne, craignant ses réactions imprévisibles ? Si ces questions résonnent en vous, il est temps de prendre conscience que vous méritez mieux. Vous méritez une relation saine, respectueuse et épanouissante. Et cela commence par se libérer d’une relation toxique. Au fil des prochains paragraphes, je partagerai avec vous des conseils pratiques, issus de mon propre vécu, pour identifier les signes d’une relation toxique, comprendre les raisons qui peuvent nous y maintenir et enfin, découvrir des stratégies pour se préserver et se reconstruire. N’attendez pas que les choses empirent. Reprenez le contrôle de votre vie et apprenez à vous préserver des relations toxiques. Lisez la suite pour découvrir comment vous libérer de cette situation et retrouver votre bonheur. REPÉRER LES RELATIONS TOXIQUES Malheureusement, démasquer une personne toxique demande un peu de temps car la personne se montre sous son vrai jour après un certain laps de temps dans la relation (et la toxicité peut prendre différentes formes), afin de s’immiscer suffisamment dans notre vie. Le premier signe qui peut nous alerter est l’ascendant que ces personnes prennent sur nous. Elles aiment imposer leur décision, ont toujours raison et nous tirent vers le bas de façon plus ou moins subtile. Qui plus est, il y a généralement la fameuse triangulaire : bourreau-victime-sauveur qui se met en place et l’on se retrouve piégé dans une relation d’emprise. Le second signe est la manipulation exercée par la personne toxique. Alternant le chaud et le froid, la manipulation prend différents aspects tels que de bons et loyaux services qui tombent du ciel. Sans que nous exprimions quoique ce soit, la personne est plus que serviable. Ainsi, nous nous sentons redevable et coincé. La personne toxique joue avec la culpabilité de sa proie. En effet, si nous ne rentrons pas dans son jeu, on se retrouve acculé de nombreux reproches et de petites phrases cinglantes « avec tout ce que je fais pour toi », « sans moi, tu n’y serai jamais arrivé ». La personne nous impose également ses règles, ses limites et nous isole au fur et à mesure de nos proches avec de bons arguments. Le troisième signe flagrant est que la personne toxique se nourrit du négatif, elle ne se réjouit du bonheur des autres, bien au contraire . Elle cherche, dans chaque situation , »le point qui ne va pas » et aime nous « tirer vers le bas ». L’objectif est de nous faire douter de nous, puis nous faire perdre confiance en nous. Elle peut ensuite prendre le rôle du sauveur et s’attribuer chaque victoire afin de se rendre totalement indispensable. Le quatrième signe est également assez facile à repérer. La personne toxique adore flatter, idolâtrer et couvrir sa proie de compliments, de cadeaux et services. Allant parfois jusqu’à offrir des cadeaux hors de prix. Ces nombreux cadeaux sont d’ailleurs très déstabilisants et ont pour but de ferrer encore un peu plus la proie. Nous nous retrouvons dans une relation déséquilibrée et l’on finit par se sentir extrêmement mal à l’aise dans cette relation. ( A lire également : Comment sauver sa peau face à un pervers narcissique ?) Le cinquième signe nous est envoyé par notre intuition. Il s’agit du sentiment de malaise en la présence de cette personne toxique. Les principaux symptômes sont : une boule dans la gorge, une sensation d’oppression… Et vous vous posez des tas de questions par rapport à cette relation… Vous avez de plus en plus le sentiment d’être enfermé et emprisonné dans la relation. Votre moral est impacté et vous n’osez plus agir sans le consentement de cette personne. Il est temps d’agir au plus vite et de mettre un terme à cette relation malsaine ! SE LIBÉRER D’UNE RELATION TOXIQUE Prendre ses distances est la première étape (obligatoire si l’on veut vraiment être libéré). Idéalement, couper tout contact avec la personne. Cela permet de prendre du recul, de se ressourcer et de commencer à reprendre confiance en soi. Si la personne toxique insiste et revient malgré la coupure imposée, évitez le conflit. Si elle se braque et nous demande des explications (ce qui est fort probable), il est bon, dans la mesure du possible, ne pas se justifier. A la place, posez des questions pour mettre la personne toxique face à la réalité de son comportement. Tout comme il est déconseillé de se justifier, il est également déconseillé d’accuser la personne toxique qui ne pliera jamais et n’admettra jamais même une petite part de responsabilité. Imposer des limites en s’opposant dans le calme. Rappelez à votre interlocuteur que toute personne a droit au respect. Une personne toxique abandonnera la partie si elle a face à elle une personne qui sait imposer ses propres limites et le respect de sa personne. Reprendre contact avec ses amis dont on s’est isolé et sortez, reprenez les activités qui vous font du bien habituellement, la personne toxique vous sachant épanouie perd de son emprise. C’est vous qui reprenez le dessus. Face à ce genre de relation vampirisante, il faut agir rapidement. Soyez à l’écoute de votre intuition et des signaux qu’elle vous envoie, c’est votre